Après Yann Arthus-Bertrand en 2018, c’est au tour des photographies de l’artiste britannique Jimmy Nelson d’inonder les murs de l’Atelier des Lumières.
« The Last Sentinels », présenté lors de 16 soirées exceptionnelles, mettent à l’honneur le travail du photographe international Jimmy Nelson, reconnu pour son engagement en faveur des communautés vivant en harmonie avec une nature aussi impressionnante que fragile.
Immergé dans le son et les images, le visiteur est amené à penser à la nécessité de protéger ces écosystèmes qui nous offrent leurs beautés et leurs richesses. À partir d’images et de films réalisés lors des voyages de Jimmy Nelson, la création conçue spécialement pour l’Atelier des Lumières révèle les derniers peuples indigènes au monde, photographiés sur 5 continents.
Se dessinent alors, sur les murs de 10 mètres de l’Atelier des Lumières, des portraits saisissants de peuples asiatiques, africains, latino-américains, océaniens… gardiens d’une culture que capture l’appareil de Jimmy Nelson dans sa complexité et sa beauté.
A travers les portraits et paysages renversants, le visiteur découvre des rites et traditions culturelles au rythme d’une bande son inspirée des compositions musicales d’Afrique, de Sibérie, d’Inde, d’Amérique du Sud et d’Australie aborigène.
La création du studio Spectre Lab invite à découvrir toute la splendeur de ce monde métissé qui donne tant à découvrir.
« The Last Sentinels » offre un voyage hors du temps à la fois esthétique, émotionnel et profondément humain.
Ces soirées s’inscrivent dans le cadre du cycle d’expositions immersives « Save the planet » qui proposent, tous les deux ans, à un artiste engagé une production immersive originale.
Du 16 au 31 octobre 2020
Horaires :
Entre 18h30 et 23h (dernière entrée à 22h15)
« Tout au long de ma vie, j’ai souhaité célébrer, d’une manière poétique et artistique, les dernières communautés du monde qui vivent en harmonie avec elles-mêmes, leur culture et leur environnement naturel.
De notre côté, nous pensons que la planète a peut-être besoin de nous…
tandis que les communautés indigènes pensent au contraire que c’est nous qui avons besoinde la planète.
Je pense qu’il est temps, notamment avec l’actualité de ces derniers mois, que ce message de protection, de respect de la planète et de ses peuples résonne à travers le monde.
Je souhaite partager ce que j’ai vu, ressenti et aimé, à travers mon travail de photographe. Les histoires que je raconte peuvent, je l’espère, aider à réveiller le monde et à trouver un moyen pour mieux vivre les uns avec les autres, avec nous-mêmes, et avec la nature. »
Jimmy Nelson
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